Trois ouvriers de pays étranges et lointains se
retrouvérent sur un chantier seuls dans la montagne.
Le matin, ils se levèrent et partirent travailler ensemble et le
soir mangèrent ensemble.
Après le repas, un d'eux, fumeur, s'alluma une cigarette et en
proposa à ses collègues.
Milan, accepta alors qu'il n'avait jamais fumé. Il toussa puis y
trouva du plaisir.
Le lendemain, rebelote mais cette fois milan ne toussa pas.
Le troisième soir, milan refusa la cigarette et son
collègue étonné lui demanda pourquoi.
"Ce soir, j'ai failli de la demander.... alors non" repondit milan.
Texte sur le
végétarisme et le bouddhisme (pdf)
Image 1 : Un homme regarde dégouté un boucher
découper sa viande sur un étal au marché.
Image 2 : Le même homme grimpe une montagne son baluchon sur le
dos
Image 3 : Rien, néant, case blanche, vide..
Image 4 : Toujours le même homme mais maintenant découpant
de la viande sur un étal au marché.
rien encore ;-)
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L'homme affamé quitte son village et monte sur la colline.
Dans la forêt, il atteint une clairière, et là au
milieu, une plante appétissante.
Il la reconnait, sait que c'est du poison : il continue son chemin.
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L'homme affamé
quitte son village et monte sur la colline.
Dans la forêt, il atteint une clairière, et là au
milieu, une plante appétissante.
Il la reconnait, sait que
c'est du poison : il la mange et la transformant en lui, la
digére et apaise sa faim.
-
L'homme affamé
quitte son village et monte sur la colline.
Dans la forêt, il atteint une clairière, et là au
milieu, une plante appétissante.
Il ne la reconnait pas, lui innocent de tout ; il la mange, la digére et apaise sa faim.
toujours rien ;-)
MUDRÂ
Le Dhyâni-Mudrâ
mudrâ de la méditation
Le
Dhyâni-Mudrâ est la posture dite de la méditation
pratiquée assis les
jambes croisées en position du lotus ou du demi-lotus et les
mains
posées sur le giron. La main droite (qui représente
l'état d'éveil)
repose sur la main gauche (qui représente le monde des
phénomènes)
mettant les deux pouces en léger contact l'un en face de
l'autre.
Cette
posture est plus fréquemment utilisée par l'école
Mahayaniste. L'autre
posture de médiation est la main droite sur le genou droit et la
main
gauche sur le genou gauche. L'index et le pouce de chaque main se
touchant légèrement.
Le Vitarka-Mudrâ
mudrâ de l'enseignement
Le
Vitarka-Mudrâ est la posture dite de l'enseignement, ou bien de
l'explication et de l'argumentation. La main droite est relevée
au
niveau de l'épaule, l'avant bras à 45° et paume en
avant, la main
gauche est maintenue au niveau de la hanche, l'avant bras à
l'horizontal et paume vers l'avant (dans certains cas la main gauche
repose sur le genou gauche, paume vers le haut). Sur chaque main, le
pouce touche légèrement l'index en formant un cercle.
Ce
mudrâ connaît une variante, dans laquelle l'index et
l'annulaire sont
tendus alors que les autres doigts sont légèrement
repliés.
Ce mudrâ peut
également être appelé
Vyâkhyâna-Mudrâ.
Le Dharmachakra-Mudrâ
mudrâ de la mise en mouvement de la
roue de la loi
Le
Dharmachakra-Mudrâ est la posture dite de la mise en mouvement de
la
roue de la loi (bouddhique) ou de la prédication. Les deux mains
sont
au niveau du tronc, paume droite vers l'avant et paume gauche vers le
corps. Le pouce et l'index de chaque main se touche
légèrement en
formant un cercle. Les deux cercles se touchent, la main gauche
plutôt
en position horizontale, la main droite plutôt en position
verticale.
(La main droite est en position de Virtaka-Mudrâ.)
Le Bhûmisparsha-Mudrâ
mudrâ de la prise de la terre à
témoin
Le
Bhûmisparsha-Mudrâ est la posture dite de la prise de la
terre à
témoin. La main gauche repose sur le genou ou sur le giron,
paume vers
le haut. La main droite, paume posée sur la jambe, se laisse
pendre
jusqu'à effleurer le sol.
Dans
certaines variantes, la main gauche tient un bol ou peut être
levée de
manière à saisir l'extrémité de la toge (au
niveau de l'épaule).
Ce geste symbolise
l'établissement de la loi bouddhique face aux forces, aux
tendances et aux inclinations plus instinctives.
Ce mudrâ peut
également être appelé Mâravijaya-Mudrâ.
L'Abhaya-Mudrâ
mudrâ de l'absence de crainte
L'Abhaya-Mudrâ
est la posture dite de l'absence de crainte, de l'apaisement ou de la
protection. L'avant bras droit est relevé, souvent à
l'horizontal,
paume vers l'avant, la main parfaite plane et droite doigts
regroupés.
Ce geste est
destiné à repousser toute crainte, toute
appréhension et à instaurer un climat de confiance et de
sérénité.
Le Varada-Mudrâ
mudrâ de la
générosité
Le
Varada-Mudrâ est la posture dite de la réalisation des
souhaits ou de
la générosité. Le bras droit est tendu vers le
bas, paume en avant la
main parfaitement plane et droite, doigts regroupés.
Ce signe est
également appelé mudrâ de la prise du ciel à
témoin.
Les
statues debout sont celles où l'on rencontre le plus souvent ce
mudrâ. Il est alors combiné avec l'Abbaya-Mudrâ.
Dans ce cas,
la main droite est en Abbaya-Mudrâ, tandis que la main gauche est
en
Varada-Mudrâ.
Au Sri-Lanka, on peut
trouver la main vers le bas, paume en avant, mais le pouce et l'index
se touchant en forme de cercle.
Ce mudrâ peut
également être appelé Dâna-Mudrâ.
L'Uttarabodhi-Mudrâ
mudrâ du détachement complet
L'Uttarabodhi-Mudrâ
est la posture dite du détachement complet. Les deux mains
à la hauteur
des épaules sont jointes, tous les doigts repliés sur le
dos de la main
adverse, à l'exception des deux index dressés l'un contre
l'autre.
Le Mudrâ de Vairocana
mudrâ de la sagesse
Le
Mudrâ de Vairocana est la posture dite de la sagesse
complète. L'index
de la main droite dressé est enveloppé par tous les
doigts de la main
gauche.
Ce
mudrâ est caractéristique du bouddhisme
ésotérique. Il symbolise la
relation entre le monde phénoménal dans sa
complexité (les cinq doigts)
et la méthode bouddhique (l'index).
L'Añjali-Mudrâ
mudrâ du salut et de la
vénération
L'Añjali-Mudrâ
est la posture dite de salut ou de considération. Les deux mains
sont
jointes rigoureusement l'une contre l'autre. Ce geste marque la
salutation, le respect ou l'hommage que l'on adresse à
quelqu'un. Il
peut être placé au niveau de la poitrine le haut des
doigts touchant le
menton ou bien au niveau du visage le haut des doigts au niveau du
regard, pour marquer une forme de respect encore plus affirmée.
Ces
gestes sont encore très fréquemment pratiqués dans
ce sens en Inde,
Cambodge et Thaïlande.
Ce mudrâ peut
également être appelé Pûjâ-Mudrâ.
Le Vajrapradama-Mudrâ
mudrâ de la confiance
inébranlable
Le
Vajrapradama-Mudrâ est la posture dite de la confiance
inébranlable.
Les deux mains sont en position d'Anjali-Mudrâ, mais seules les
extrémités des deux mains se touchent avec des doigts
entrecroisés.